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By Aymen HENNA Bagdad (AFP) – Il a arrosé le jardin d’Eden, irrigué Sumer et abreuvé Babylone. Mais dans l’Irak d’aujourd’hui, le Tigre se meurt. Entre activité humaine et chamboulement climatique, l’agonie du fleuve menace d’emporter la vie qui s’y est implantée il y a des milliers d’années. Considéré par l’ONU comme un des cinq pays les plus exposés aux conséquences du changement climatique, l’Irak ne compte plus les maux qui l’accablent: températures en hausse, désertification galopante, précipitations en baisse, tempêtes de sable qui s’enchaînent recouvrant le pays d’une fine pellicule ora…